Mai
23
23 Mai 2024
Larry
Ouf !
Ça y est, j'ai publié ce matin (tôt), sur mon Podcast, la fin de mon histoire « Reportage exceptionnel, ma visite à l'École des Esclaves Sexuelles ».
J'avais dû diviser en 2 épisodes parce que ça devenait vraiment trop long. En fait, j'aurais même peut-être dû diviser en 3 épisodes...
J'ai eu un peu de mal à le finir.
Déjà, j'avais été en déplacement (familial) 8 jours, ça m'avait forcé à programmer 2 épisodes (que j'avais heureusement en avance) pour une parution automatique. C'était ma première tentative, j'avais été soulagé quand ça avait fonctionné, parce que je n'aurais pas pu facilement intervenir puisque je n'étais pas chez moi (où sont mon ordi et toutes mes configurations).
Mais de retour, je m'étais trouvé sans aucun épisode d'avance (suite à mon crash de disque qui m'avait fait perdre un temps fou, en plus du stress).
J'avais prévu d'enregistrer la suite (et fin) de cette histoire, mais là, pas de bol, je suis tombé malade. Pas trop grave, mais j'avais un sale mal de gorge, le nez bouché, et des difficultés à parler clairement... Ça tombait mal. Enfin, heureusement, le plus gros est passé assez vite, et j'ai pu m'y remettre. C'était de justesse : je n'avais plus que 2 jours pour tout faire !
Donc, ces mardi et mercredi, j'ai enregistré tout ça, édité, et préparé la publication.
D'ailleurs, en faisant l'enregistrement, je me suis aperçu que j'avais VRAIMENT manqué une opportunité : l'ajout de bruitages. J'y vais pensé bien avant, mais le crash, puis mon déplacement et le rhume, ont rendu impossible d'examiner ça de plus près. Ce sera pour une autre fois, peut-être. Là, je me suis contenté de ce que j'avais prévu de longue date : j'ai ajouté un léger effet d'écho lors que Ludd est en train de parler des cellules (qui sont dans un sous-sol). L'effet n'est pas parfait, mais il donne quand même un peu d'ambiance.
C'était ma première histoire porno (pas vraiment BDSM) longue, que j'avais publiée à l'origine sur le site FetLife, puis sur mon site.
Le format audio fonctionne relativement bien avec ce type d'histoire, parce que dans celle-ci, il n'y a pas de dialogues... Je ne sais pas comment je ferai si je veux enregistrer des histoires où le dialogue joue une grande part. Sans compter les bruitages (du genre cris), qui sont importants. Enfin, à voir.
Voici les 2 épisodes :
Comme j'avais déjà expliqué précédement, c'était une expérience. On verra bien si ça plaît, et si je dois en refaire.
J'avais utilisé une histoire existante pour ce premier essai, histoire de simplifier. Si j'en fais d'autres, j'essaierai d'en écrire qui soient spécifiques.
À suivre !
Mars
10
10 Mars 2022
Larry
Ça y est, je viens de publier (hier soir) ma 3e histoire BDSM :
Les 2 précédentes étaient :
Cette 3e histoire utilise un personnage présenté dans la 2e histoire (l'ADREFA) : KAR.
Comparé aux 2 précédentes, elle est nettement plus classique : une rencontre BDSM, dans un hôtel. En fait, elle est très proche de mes histoires vraies (« Exemples de rencontres BDSM »). Elle est aussi plus réaliste, basée sur des choses que je fais vraiment...
Ça faisait un bon moment que je me disais qu'il serait bien d'ajouter une nouvelle histoire.
Et puis, je voulais faire une pause dans mes articles sur les rencontres, changer un peu de sujet...
C'est en pensant et faisant des recherches sur des plug gonflables l'autre jour que j'ai eu l'idée.
J'aime beaucoup utiliser les plug, surtout les gonflables. Et le type de modèle que je décris dans l'histoire est particulièrement intéressant. La différence avec celui que je décris dans mon article de customisation, c'est qu'ils n'ont pas de tuyau, ils utilisent un système de valve et la poire de remplissage y entre avec une aiguille, un système utilisé pour les ballons de sport par exemple...
J'appelle ce genre de plugs gonflables « slut tamer » ou « dresseur de salope ». Ils sont parfaits pour ce genre de rôles...
En plus, un des points forts des plugs, c'est qu'on peut les porter sous les vêtements, même dehors...
Ouf, ça a été difficile de la terminer, je n'en voyais plus la fin.
Comme souvent, je pars sur une idée, mais finalement, d'autres idées viennent et la longueur de l'article explose... Là, il est plus de 2 fois plus long que ce que j'avais prévu (environ 37 pages !).
Bonne lecture !
Mars
07
07 Mars 2022
Larry
Je suis en train de finir une nouvelle histoire BDSM :
- Les aventures de KAR : Emily face au « slut tamer ». Le pouvoir de l'argent ... et des sex toys !
J'en avais déjà écrit 2 :
J'ai aussi écrit 2 histoires vraies, basées sur mes propres expériences :
D'un point de vue écriture (littéraire), ces histoires sont sans prétention, elle sont assez brèves (comparé à un roman) et je n'ai pas essayé d'utiliser une écriture ou un style fouillés.
Mais en pensant à ces histoires, je me suis demandé : qu'est-ce qui fait une BONNE histoire BDSM ?
Si je prends le pire contre-exemple connu, « 50 Nuances de Grey » (voir mon article d'analyse/critique), le premier roman (je n'ai pas eu le courage de lire les autres) est long et l'histoire est profondément ennuyeuse. Quand on y réfléchit, il ne se passe pas grand chose. Et pour le côté BDSM, on reste sur sa faim ! Non seulement le BDSM est ultra-basique, ce qui serait OK si c'était bien traité, mais en plus, il y en a très peu (quelques rares scène, une seule est décente). Pour un livre qui s'était vendu sur le côté « sulfureux », ça fait RIRE !
Perso, j'aimerais bien un jour écrire un roman BDSM, quelque chose de plus long que mes histoires habituelles. Mais dans un roman, il est nécessaire de mettre un peu plus de contenu pas directement BDSM. 500 pages de scènes BDSM à la suite, ça serait probablement un peu indigeste.
Pour mes histoires, par contre, je peux me limiter sur UN sujet dans le temps et l'espace, et être bien plus centré sur l'action.
Bien sûr, je dois quand même ajouter un minimum de contexte, présenter, même brièvement, les personnages avant de pouvoir passer aux rencontres (coeur de l'histoire).
L'exception est la première histoire (« ma visite à l'École des Esclaves Sexuelles ») qui ne décrit guère de BDSM, mais elle donne BEAUCOUP de matière à des fantasmes. Remarquez que cette histoire a BEAUCOUP de succès, c'est un de mes articles les plus lus, probablement en partie grâce au titre qui attire l'attention...
Mon autre histoire, et celle que je suis en train de rédiger, sont orientées pratiques BDSM, avec énormément de descriptions. Je dirais que les 3/4 du texte est « BDSM ».
Mais je ne m'arrête pas aux descriptions, j'essaie aussi de décrire ce qui se passe dans la tête des personnages.
Pour moi, une bonne histoire BDSM doit donc :
- susciter le fantasme, l'envie de faire ce qui est décrit,
- inclure BEAUCOUP de descriptions de pratiques BDSM (de toutes sortes),
- expliciter le ressenti, les motivations des personnages,
- si possible démythifier et dédramatiser le BDSM, et expliquer pourquoi les personnages « aiment ça ».
Évidemment, si on parle des histoires VRAIES, c'est un peu différent, puisque là, on est un peu plus restreint, pour rester dans le réel. Mais par contre, à mon avis, savoir que c'est VRAI, ça augmente nettement l'impact sur le côté « fantasme ».
Bien que mes histoires soient -volontairement- assez simples, je pense qu'elles procurent pas mal des facteurs qui en font de « bonnes » histoires du point de vue « histoires qui donnent envie ».
Après, le problème, c'est qu'il n'est pas toujours aisé de me renouveller. J'écris principalement sur des sujets que je connais VRAIMENT, que je maîtrise, c'est plus facile. Plus on parle de choses que je connais de loin, ou n'ai jamais faites (parce que ça ne m'intéresse pas vraiment), plus c'est difficile.
J'ai en tête une série d'histoires qui se passeraient toutes dans un lieu (fictif) et avec des personnages récurrents (autres que mes actuels) : un salon de coiffure tenu par une dominatrice qui a des salariées qui sont toutes dans le BDSM. J'avais pensé écrire un roman, mais ça serait probablement trop ambitieux, mieux vaudrait me limiter à des histoires, peut-être un peu à la façon des romans épisodiques ?
Une autre idée qui m'est venue pour le futur : des histoires qui ne seraient pas juste pour le côté « titillation », mais qui seraient aussi des instruments d'apprentissage, avec des scènes plus détaillées et explicatives, et SURTOUT qui montrent certaines gaffes et leurs conséquences. Ce serait sûrement encore mieux au format bandes dessinées, mais là, ça demanderait un tel effort que je ne sais pas si ça sera possible un jour... J'aimerais aussi réaliser des vidéos « éducatives », un jour peut-être ? On peut toujours espérer et rêver...
J'espère faire paraître bientôt cette nouvelle histoire.
À suivre !
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