Janv
31
31 Janvier 2023
Larry
Dans mon précédent article, j'avais rapidement parlé d'utiliser un collier pour chat pour aller à des évènements BDSM.
Je reviens un peu plus en détails sur le sujet, parce que je sais que ça peut surprendre comme suggestion !
Le collier, ça peut servir à plein de choses, en plus d'être un « symbole d'appartenance ».
Franchement, pas besoin d'être dans une relation stable pour s'en servir, son utilisation reste sympa pour le côté domination et SURTOUT pour divers aspects pratiques.
Avec une laisse, on peut guider la personne, éventuellement faire du « pet play », ou attacher des choses au collier, y compris les mains de la personne (avec des menottes par exemple).
Bref, il y a plein de possibilités.
Mais, dans un premier temps, vous n'allez probablement pas avoir envie d'investir dans un collier « BDSM », qui sont souvent un peu gros et pas donnés. Remarquez que les colliers simples font tout autant l'affaire, même si on est dans une relation...
C'est pour ça que je recommande de commencer avec un collier basique et pas cher, pour tester. Et puis, ils marchent tout aussi bien pour la plupart des usages, seul leur « look » est inférieur.
(Si vous avez un chat ou un chien, vous pourrez peut-être leur « emprunter » un ancien jeu de collier+laisse.)
Ma suggestion est donc de chercher dans des grandes surfaces, au rayon des animaux. On y trouve toujours des colliers et laisses, y compris des modèles vraiment basiques (généralement pour chats). Malheureusement, perso, je m'approvisionnais chez Monoprix, mais depuis un moment mon modèle habituel (noir en nylon avec laisse) ne s'y trouve plus...
Je vous laisse choisir en fonction de vos goûts, de votre budget, et surtout, de ce qui est disponible...
Comme vous allez quand même vous demander si VRAIMENT ces colliers sont assez grands pour des humains, voici une preuve !
Sur les 2 photos suivantes, vous voyez un collier pour chat typique (ici bleu très foncé, en nylon). Le mètre ruban vous montre la largeur du collier, et l'étiquette vous confirme le « tour de cou » : 43 cm ! Moi, j'ai un assez gros cou, mais il faut largement moins que ça (je viens de mesurer).
Ce collier, je viens juste de l'acheter, pour 3,99 euros. Vous voyez, c'est vraiment pas cher.
Attention, par contre, ce modèle n'incluait pas la laisse, pourtant très utile.
Voilà, maintenant, j'espère vous avoir convaincu ou convaincue, si vous n'aviez pas encore de colliers, qu'on peut débuter avec ce type de modèles...
Après, si besoin, vous pourrez passer à des colliers pour animaux plus sophistiqués (c'est ce que je fais) ou à des colliers « spécial BDSM ».
Miaou !
Janv
29
29 Janvier 2023
Larry
J'ai déjà pas mal parlé des soucis à surveiller lorsqu'on fait des rencontres : « red flags », « vetting », etc.
Comme je le dis toujours, les problèmes qu'on rencontre dans le BDSM ne sont pas vraiment dûs au BDSM en soi, la source des problèmes est que les sites de rencontres et les évènements publics BDSM attirent de façon disproportionnée des personnes ayant au mieux de mauvaises mentalités et attitudes, y compris des personnes sectaires et des extrêmistes élitistes nocifs, au pire, des abuseurs/euses et compagnie.
Bien entendu, en dehors des RDV (rencontres elles-mêmes), juste en fréquentant le « milieu public BDSM » (ou les sites BDSM), on peut aussi rencontrer plein de problèmes, surtout liés au contexte des rencontres.
Je voudrais donc ici reprendre quelques-uns des problèmes majeurs que j'ai identifiés. Ho, il y en aurait plein d'autres, mais là, je pars du principe que vous débutez le BDSM, et n'avez pas d'expérience des sorties BDSM. Ça vous met dans une position très désavantageuse ! En savoir un peu plus sur leurs problèmes avant d'y aller devrait vraiment vous aider.
Attention au piège du sexisme : les hommes aussi sont victimes ou souffrent de divers problèmes. Si je parle avant tout dans cet article du point de vue des femmes, c'est parce que ce sont généralement les hommes qui vont vers les femmes (en France en tout cas) et ce « milieu » souffre fortement d'une disproportion H/F (très peu de femmes, surtout de femmes seules), ce qui crée des problèmes importants.
Je ne prétends donc pas que cette liste soit exhaustive (ce serait trop beau !), mais elle devrait aider !
Je ne détaille pas énormément, sinon il me faudrait écrire des centaines de pages...
Notez que je suis toujours surpris et choqué de voir que PLEIN de monde, surtout des filles, ignorent toutes ces alertes et tombent à pieds joint dans ces pièges.
Les comportements dont il faut se méfier
- personnes se montrant arrogantes, prétentieuses, hautaines, etc. (évidemment) Ne me dites pas que c'est si évident que ça : j'ai vu des cas hallucinants, choquants, et pourtant, ils et elles avaient des tas d'amis/amies et étaient accepté(e)s comme si tout c'était OK et normal.
- personnes qui parlent en mal des autres pratiques, les critiquent, se moquent, etc.
- les personnes qui parlent du « vrai BDSM » ou du « BDSM qui était mieux avant » ou du « BDSM underground » : toutes ces notions n'ont aucun sens, ces personnes sont élitistes (et à côté de la plaque), bref, à éviter. C'est un signe d'alerte majeur, un des pires.
- attention aux personnes qui parlent trop fort de bienveillance, d'inclusivité, de SSC/RACK, de tolérance, de consentement, etc. C'est un signe d'alerte assez fort : certaines des pires personnes sont dans cette catégorie. Une personne décente normale ne parle pas sans arrêt de ça !
- personnes qui cassent du sucre sur le dos des « Hommes », des blancs, des hétéros, des cisgenres (tout en se vantant d'être « progressifs » en plus). C'est comportement NOCIF qui a beaucoup augmenté. Je l'ai subi perso, je le vois de plus en plus dans les forums, et j'ai eu des remontées d'autres personnes qui en avaient aussi fait les frais...
- attention aux femmes qui font du « racolage » au profit de leur groupe, généralement plus ou moins sectaire (ou de leur dominant)
- attention aux dominants/tes qui ont une attitude méprisante, qui se la jouent « dominants », montrent avoir mauvais caractère. C'est inacceptable envers des inconnu(e)s, surtout en public ! Une personne dominante (comme moi) n'a PAS MAUVAIS CARACTÈRE ! Être dominant ou dominante BDSM n'est pas synonyme de se comporter comme un porc ou une truie !
Choses à garder en tête
- attention aux préjugés sur les hommes : il y a aussi plein de couples d'hypocrites, ayant de mauvaises attitudes, parfois malveillants. Pareil pour les femmes.
- un indice fort de l'attitude des gens : regardez COMMENT ils ou elles se comportent (et parlent) face aux hommes, surtout aux hommes seuls n'ayant pas un super look, c'est super révélateur !
Un exemple typique (que j'ai vu personnellement) : couple qui ignore les hommes, mais est accueillant avec couple (si jeunes et ayant de bons looks) ou les femmes
- le BDSM, ça n'est PAS un monde radicalement différent où les comportements immondes sont soudain tolérables ! Trop de gens aux attitudes immondes profitent de l'aura du BDSM pour essayer de vous faire croire n'importe quoi.
Avertissements plus spécifiques aux femmes débutantes
- attention aux hommes (dragueurs bien rodés) qui savent vous dire ce que vous voulez entendre. Ils répondront à vos questions en disant EXACTEMENT ce que vous attendez qu'ils disent, de façon « rassurante » et tout. Je pense que c'est là une des caractéristiques MAJEURES des dragueurs sans scrupules (pas forcément des abuseurs, loin de là, hein, mais des gars ayant de mauvaises attitudes, et généralement mauvais caractère).
- n'acceptez PAS d'aller en soirées, et SURTOUT PAS en soirées « play » après le Munch
- La majorité des organisateurs/trices de soirées et clubs sont des gens qui ont de mauvaises attitudes et qui sont élitistes, qui accueillent en toute connaissance de cause des ABUSEURS notoires
Suggestions aux femmes
1) Quand vous allez à un évènement BDSM, surtout si vous y allez seule, et que vous débutez : portez un COLLIER ! (Un collier qui soit bien visible, sinon ça ne marchera pas !)
Cette suggestion est dirigée vers les femmes, parce qu'il y a surtout de la drague vers les femmes...
(Rappel : le collier BDSM, c'est un accessoire qui -en principe- marque une « appartenance » à une personne dominante. C'est un peu comme une alliance pour les mariages.)
Pas besoin d'avoir réellement un (ou une) partenaire pour ça, et croyez-moi, ça calmera les ardeurs de pas mal de monde et minimisera le harcélement.
N'importe quel collier de base, pas cher, suffira. Par exemple, les petits colliers pour chats, en nylon noir, qu'on trouve en grande surface, suffiront largement ! Oui, leur taille est suffisante, j'ai l'habitude (hé hé), il faut même généralement les raccourcir !
2) SURTOUT, ne donnez pas votre numéro de portable, et ne vous laissez pas mettre la pression pour ça.
D'ailleurs, si vous cherchez à obtenir des contacts, créez un compte sur le site BDSM FetLife (ou équivalent) et donnez votre pseudo. Sinon, utilisez un mobile dédié, avec un numéro dédié aux rencontres (et autres) BDSM ! C'est important !
Conclusion
Surtout, gardez les yeux ouverts, voyez comment les gens se comportent quand ils/elles pensent qu'on ne les regarde pas.
Et n'oubliez pas : utilisez votre cerveau et gardez un sérieux esprit critique et une bonne dose de bon sens.
Le BDSM, c'est super, mais ça n'autorise pas pour autant le n'importe quoi, ne vous laissez pas avoir.
Janv
28
28 Janvier 2023
Larry
Un des GRANDS problèmes quand on fait du BDSM, c'est d'avoir un local adapté. C'est surtout important si on fait des choses un peu bruyantes.
Faire du BDSM chez soi peut être un problème : murs qui laissent passer le moindre bruit, famille, colocataires, etc.
En plus, il n'est pas toujours possible (ou raisonnable) d'inviter quelqu'un qu'on ne connait pas encore, si on en est aux premiers RDV.
Du coup, ça pose un réel souci : où aller pour faire vos ébats BDSM ?
La solution des clubs n'est PAS une solution, pour la majorité des gens : on est en public, difficile de s'isoler, il y a le risque de tomber sur des trouble-fêtes, c'est cher, difficile d'accès, ouvert surtout en soirées, pas en journée (et encore moins en matinée). Bref, il faut trouver autre chose !
Une bonne solution serait les « Love hotels », à la japonaise. Malheureusement, alors qu'au Japon, ça se compte par milliers, en France, c'est rare, souvent cher, pas aisé d'accès (puisque rares). En plus, le nom peut repousser, j'ai déjà plusieurs fois essayé d'y inviter des filles, sans succès, elles se défilaient tout de suite (je pense qu'il y a encore des associations négatives, en France, à ces types d'hôtels).
La solution restante, finalement, c'est tout simplement de louer une chambre d'hôtel.
L'ennui, c'est qu'en général, quand on va à l'hôtel, c'est pour y passer la nuit (ou plusieurs jours). Or, pour faire du BDSM, surtout si vous faites des rencontres assez brêves, ce n'est pas adapté, pas pratique, et CHER.
Pourtant, il y a une solution, qui a connu pas mal de développement depuis des années : louer une chambre dans la journée.
On peut tout simplement aller demander à un hôtel s'ils ont des chambres dispos juste pour quelques heures, ou pour l'après-midi, etc. Les hôtels sont généralement assez vides en journée, donc, en fait, ça les arrange de pouvoir louer des chambres même quelques heures, et du coup, les tarifs sont plus abordables.
Évidemment, ça vous fait penser à la notion (un peu dépassée) des « hôtels de passe », mais on n'en est plus là. D'ailleurs, en journée, il y a pas mal de locations faites pour des réunions, ou juste faire des pauses lors d'un séjour, etc.
J'ai lu des articles de personnes qui demandaient comment faire, si on peut louer comme ça, et la réponse est oui, on peut, c'est classique.
Visiblement, pas mal de personnes sont embarrassée à l'idée de faire ça, mais il n'y a aucune raison, même s'il est évident, venant en couple, que vous venez pour « coucher ». On n'est plus dans les années 1950 ! Il n'y a plus de raisons de se sentir gênés.
Évidemment, l'ennui c'est que vous ne savez pas à l'avance le prix et s'il y a des chambres dispos... Du coup, il existe des sites internet qui font intermédiaires : ils listent les hôtels (par ville, etc.) qui ont des chambres dispos et donnent les prix. On fait une recherche, on choisit, on va à l'hôtel et on paie sur place. C'est pas mal, et il existe plein de sites comme ça. Par contre, le souci, c'est que peu d'hôtel y participent, donc le choix est très limité, mais c'est super pratique, et ça évite les incertitudes (surtout le tarif).
J'ai vu aussi des gens qui recommandaient les motels et les trucs du genre automatisés, où on paie par carte à un « distributeur », il n'y a pas de réception, donc pas de problème ou à se sentir gênés. Le p'tit problème, c'est que ces hôtels-là sont souvent en bordure de villes, pas toujours à des endroits très accessibles.
Enfin, tout ça n'est quand même pas donné, et il faut se méfier de certains hôtels qui sont insalubres, j'ai lu des commentaires, à faire peur, pour certains petits trucs situés à Paris, BRRR !
Au final, dans Paris, il faut bien compter dans les 60 à 80 euros (parfois bien plus), en matinée ou en après-midi. Mais c'est mieux que ne pas savoir où aller !
Janv
28
28 Janvier 2023
Larry
Le Bondage, j'adore ! Beaucoup de monde aime ça d'ailleurs, c'est une des pratiques BDSM les plus courantes (probablement dans le top 5 ou même dans le top 3).
Pour faire du Bondage, il FAUT des accessoires, évidemment !
Ce que je préfère, perso, ce sont
- pour la pure restriction de mouvements : la combinaison de chaînes autour du lit + menottes,
- pour les sensations : l'utilisation de cordes en chanvre (ou équivalent).
Évidemment, avoir des chaînes autour du lit, c'est super sympa, mais ça pose des p'tits problèmes si on n'est pas chez soi... Or, poser un système comme celui que j'ai chez moi, ça prend du temps, on ne peut pas le faire lors d'un RDV, surtout à l'hôtel.
Du coup, une autre solution pratique, c'est d'utiliser un système de sangles (à défaut de pouvoir mettre en place des chaînes).
Ça se trouve assez souvent en kit (sangles + menottes) dans les sex-shops. Certains sont pas mal du tout.
Mais, perso, j'aime assez avoir des sangles basiques, utilisables de toutes les façons qu'on imagine, et qu'on peut couper ou adapter sans avoir à regretter de démolir le kit (qui n'est pas forcément donné).
On peut facilement trouver des sangles en magasins de bricolage.
Typiquement, elles sont vendues en bouts de 5m ou 2,5m. Par contre, pour le choix des couleurs, c'est un peu misérable : j'ai trouvé noir (le mieux, car c'est neutre et passe partout) ou orange (assez violent, limite fluo), il existe aussi bleu, mais j'en vois moins souvent.
Les 2 longueurs ont leur utilité. Mais il faut se méfier : des 2,5m, c'est trop court pour faire le tour (en largeur) d'un lit à 2 places, pour ça, il faut des 5m.
Les sangles de la photo ci-dessus ont coûté de 2,99 à 5,80 euros. C'est vraiment dérisoire vu leur flexibilité et qu'elle sont réutilisables.
Deux des meilleurs utilisations, sont pour passer sous le lit, on fait des noeuds qui font boucle et qui permettent de fixer des menottes. On peut aussi tenter de directement utiliser les boucles, mais là, il faut VRAIMENT viser juste, pas facile (et pas flexible). Les plus courtes peuvent être utilisées pour les attacher aux coins du lit (tout ça dépend du type de lit).
On peut aussi tenter de les utiliser comme liens, autour du corps, mais perso, je trouve que des vraies cordes sont mieux. Les sangles, a priori, peuvent laisser moins de traces, mais sont plus dures à faire tenir en place, et sont glissantes.
Enfin, elles peuvent tout simplement servir à tenir en place des choses : serviette ou autre accessoires (genre fuck-machine).
En conclusion : les sangles sont des accessoires presque indispensables, à avoir dans votre « boîte à outils BDSM » !
Janv
26
26 Janvier 2023
Larry
Je viens juste de revisiter un article que j'avais laissé ouvert il y a quelques temps sur ma tablette pour examen plus détaillé...
Mon diagnostique : Waouh !
Cet article est si pourri (et honteux), qu'il s'est propulsé direct dans mon « top » des pires conneries (excusez la vulgarité) nocives que j'aie lues depuis bien longtemps ! Ce qui n'est pas une mince affaire, vu le nombre de stupidités qui me passent sous les yeux.
(Je refuse de faire de la pub à des torchons pareils, donc je ne donnerai pas l'adresse du site.)
C'est impressionnant. Vraiment, ça tient du prodige. Comment est-ce possible d'être si ignorante, hypocrite, malveillante et pleine de tant de haine envers les hommes ?
Je ne vais pas tout détailler. Mais voici les grandes lignes.
L'auteure commence par des vrais délires sur la prostitution. Inexcusable. Franchement, c'est si loin de la réalité que c'est inexcusable. Elle ne sait pas de quoi elle parle, elle délire sur les hommes qui « avant allaient tous voir une prostituée pour fêter leurs 18 ans » (n'importe quoi !). Elle fait suivre ça d'accusations toxiques odieuses contre les hommes, qui sont clairement diffamantes. Bref, passons les détails.
Mais, la raison pour laquelle j'étais arrivé sur cet « article » (on devrait plutôt dire un pamphlet anti-hommes), était évidemment qu'il y avait un angle BDSM...
Elle part donc ensuite sur le « Shibashi ». Quoi, vous ne connaissez pas ? Ha oui, pardon, parce qu'en fait, elle ne sait même pas comment on écrit Shibari... Je veux dire, sérieusement, ça montre le degré de sérieux de l'auteure (comme le reste de son écrit). Ensuite, elle nous sort, évidemment, des délires du genre que le « Shibashi », c'est uniquement pour attacher les femmes, et bla bla bla (remarques sexistes et anti-hommes suivent). DE QUOI ELLE PARLE ? Elle n'a même pas passé 5 minutes à se documenter, c'est clair ! Le Shibari, réservé aux femmes ? Dans quelle dimension parallèle ? C'est embarrassant une telle ignorance.
Et bien sûr, toutes ses élucubrations sont entrecoupées d'attaques virulentes contre les hommes, que tout ça c'est de la domination (au sens subjugation) des « pauvres femmes qui sont des victimes ». N'importe quoi...
Elle ose même référencer « 50 nuances de Grey », et l'utiliser pour dénoncer le BDSM. Il faut oser, ou plutôt, être à 100% ignorante pour dire ça quand on sait que « 50 nuances » a été vigoureusement dénoncé dès son apparition par tous les gens qui font du BDSM comme n'étant pas du BDSM, mais une série sur une relation abusive toxique.
Elle essaie ensuite de contraster l'idée que le BDSM est progressiste, alors qu'en réalité « c'est pas bien, ce sont des gros méchants » (je paraphrase lourdement, évidemment). Pffff. Quel tissu de stupidités ! Combien de fois il faudra expliquer que le BDSM c'est super répandu, pas que chez les gens qui sont progressifs d'ailleurs, et que ce sont juste des pratiques sexuelles qu'on regroupe parce que c'est pratique, il ne faut pas voir au-delà ! Même les gens qui sont à fond dedans (comme moi), ne répondent pas à ses descriptions, elle ne sait pas de quoi elle parle !
J'arrête là, ça me décourage trop de simplement penser à des choses comme ça.
Comment est-ce possible d'écrire des articles si virulents, accusateurs, et qui contiennent 100% de n'importe quoi ? En tout cas, ça m'en a dit long sur la mentalité (et le total manque de sérieux et d'honnêteté intellectuelle) de son auteure. Vraiment pathéthique !
Janv
20
20 Janvier 2023
Larry
Arrrrgh !
NON, le BDSM, ça n'est pas illégal ! Ça n'est pas un crime non plus !
Il faut arrêter les délires !
Une fois encore je suis tombé sur des stupidités sur YouTube. Encore une fois, le total n'importe quoi !
C'est effarant de voir le nombre de personnes qui se posent en « expertes » du BDSM et qui ensuite racontent n'importe quoi ou mélangent le vrai et le faux. Le FAUX, quelqu'un qui est réellement expert ne devrait PAS tomber dedans ! C'est intolérable !
N'oubliez pas que ces gens-là font du mal, potentiellement BEAUCOUP de mal, avec leurs mauvais conseils.
Cette fois-ci, je veux parler de cette vidéo :
- BDSM is a CRIME! (ou « le BDSM est un crime ! »,
https://www.youtube.com/watch?v=BsKjdMeAeh8
)
J'ai un peu parcouru ses autres (nombreuses) vidéos, mais je n'ai pas eu la patience et courage de tout écouter, il y avait pas mal de n'importe quoi aussi dedans. Notez qu'il fait du BDSM depuis longtemps, j'ai même retrouvé son profil sur le site BDSM FetLife.
Bon, commençons... Pfff. (Je ne parlerai pas non plus de sa façon de parler, de son ton, qui me fait grincer des dents, argh, insupportable.)
Sa vidéo est intitulée « le BDSM est un crime ! ». Il commence sa vidéo en parlant du risque que les gens qui font du BDSM puissent ignorer que dans certains pays (dont les USA), le BDSM est un crime (illégal).
NON. C'est faux !
Le BDSM, ça n'est PAS illégal (ou un crime) !
Je vois passer ça de temps en temps, y compris sur les forums (la dernière fois, c'était il y a quelques mois), mais c'est complètement absurde, STUPIDE, de dire ça !
D'ailleurs, quand vous écoutez ce qu'il dit, il se contredit presque immédiatement !
Ce qu'il veut VRAIMENT DIRE (de façon spécieuse), c'est que certaines pratiques BDSM peuvent, dans un certain contexte, être associées (ou devenir) à des violences, de l'abus, de la maltraitance, qui sont, évidemment, des choses illégales.
Ce n'est pas pareil que de parler du BDSM en général !
Les mots, ça compte, surtout quand on fait des grandes annonces alarmistes et généralisantes.
Je ne parlerai même pas du fait qu'il ignore volontairement que la plupart des gens font un BDSM assez léger (et ne savent même pas que leur fessée du samedi soir est du BDSM), ou que leurs activités BDSM n'ont RIEN de violent !
Ce qui est fascinant, c'est qu'ensuite la majorité du Podcast est passée à discuter du consentement, parce qu'il parle du risque que quelqu'un change d'avis après une « séance BDSM » et aille porter plainte pour abus/agression. Reste que le titre était BIDON, du click-bait, et ses discussions qui suivent n'y changent rien.
Vous n'imaginez pas comme ça m'énerve d'écouter des gens comme ça, qui pontifient, qui donnent des leçons, tout en partant de prémisses qui sont BIDONS ou toxiques.
GRRR
Janv
20
20 Janvier 2023
Larry
« C'est comme ça dans le BDSM » ou « c'est Normal dans le BDSM » (ou équivalents) sont des phrases qui reviennent un peu trop souvent dans le BDSM, alors qu'en réalité tout ça, c'est du crottin de mammouth.
Ce type d'expressions sont toujours utilisées par des gens de mauvaise foi, des extrémistes, des prédateurs (hommes et femmes).
Elles constituent un des pires pièges du BDSM, surtout quand on débute.
J'en parle assez souvent, parce que c'est récurrent et vraiment problèmatique.
J'ai aussi remarqué qu'il y a pas mal de gens qui utilisent cette idée, cette attitude, même sans l'exprimer de façon aussi directe...
C'est vraiment fou de voir qu'on peut encore avoir de nos jours des personnes qui restent à camper dans des visions du BDSM ultra-nocives et qui essaient de propager une « bonne parole » aussi hypocrite et toxique. Ils et elles y ont évidemment un intérêt personnel, mais au-delà de ça, c'est si GROS qu'on peut se demander comment ça peut encore exister et passer.
Perso, je me répète, mais je maintiens que ce genre de STUPIDITÉS immondes persistent en bonne partie parce qu'il n'y a pas assez d'éducation sexuelle (toujours la fameuse « peur du sexe ») et une presque totale méconnaissance du BDSM. Alors que quand on y réfléchit, le BDSM, c'est assez simple à comprendre (enfin, les idées de bases en tout cas) : on ne parle pas d'un domaine où il faut faire 5 ans d'études pour comprendre de quoi on parle...
Et ce qui est encore plus FOU, c'est de voir que de nos jours, il y a BEAUCOUP d'infos sur le BDSM, accessibles aisément par internet, bref, il est facile de se renseigner et de comprendre quand on vous dit n'importe quoi et tente de vous « bourrer le mou ».
Je me demande s'il ne faudrait pas que je dédie un article de mon site juste à ce sujet. Mais je ne suis pas encore sûr de comment le présenter, parce que finalement, l'idée sous-jacente est triviale et sa solution aussi. J'ai peur de vite tourner en rond...
Il faudrait que je trouve un meilleur angle de présentation du problème, histoire d'aller plus loin que mes explications déjà existantes.
C'est un problème IMPORTANT, c'est pour ça que je réfléchis pas mal à ça.
J'avais aussi prévu un article sur les « pièges du BDSM ». Le « normal » en fait clairement partie. Ce serait peut-être une meilleure place ?
Bon, je ne sais pas encore, il va falloir que je continue de méditer sur tout ça.
Vous voyez, écrire des articles n'est pas toujours aisé même si on a plus ou moins trouvé le sujet. La façon de présenter, peut-être des exemples, le raisonnement, et un minimum d'arguments sont requis pour avoir un article d'une longueur minimale...
À suivre.
Janv
20
20 Janvier 2023
Larry
J'avais déjà évoqué un des -sérieux- problèmes des délires qui entourent l'IA (Intelligence Artificielle) quand j'avais parlé des discours complétement FOUS à propos des soi-disant « robots sexuels ».
J'y dénonçais vigoureusement les auteurs/res qui parlent de ces « robots » comme s'ils avaient une intelligence (au sens proche des humains, ou même des animaux) alors que c'est 100% BIDON, ils n'ont AUCUNE réelle intelligence, pas plus qu'une poupée qui pleure et dit « Maman ».
Et croyez-moi, les délires sur ces sujets ne sont PAS sans conséquences, souvent sournoises. Dans le cas des robots (poupées) sexuels, par exemple, l'idée qu'ils puissent avoir de l'intelligence (LOL) est utilisé à fond pour stigmatiser les hommes. C'est un super prétexte pour TOUS les délires anti-hommes, et croyez-moi, j'en ai vu passer, à faire PEUR.
Tout ça alors que RIEN n'est vrai là-dedans ! RIEN DE RIEN.
Je rappelle que je suis (étais) informaticien pro, j'ai eu mon premier ordi en 1984... Je connais ces sujets.
Mais ce qui m'effraye VRAIMENT, ce ne sont pas ces délires sur les « robots sexuels » : ça, c'est un sujet super étroit, d'une portée très limitée, même si ça reste ultra-nocif. Moi, ce qui me fait de plus en plus PEUR, et je veux dire VRAIMENT PEUR, c'est que l'idée que « l'Intelligence Artificielle » soit de plus en plus perçue comme étant une réalité par le grand public et, pire, par les diverses « autorités » (justice, administrations et autres).
Comprenez-moi bien : ce qu'on appelle actuellement « IA », ça permet de faire des tas de choses utiles, parfois très utiles. Je ne nie absolument pas que ce soit des performances techniques et qu'on puisse en tirer un réel avantage. (Je ne détaillerai pas les soucis d'ABUS qu'ils créent aussi.)
Le souci, c'est que tout ça, c'est super, MAIS, ça n'est PAS de l'intelligence au sens que la quasi totalité des gens l'imaginent ! À de rares exceptions, les gens ne réalisent pas les énormes LIMITES de ces outils.
Et ce qui fait PEUR, VRAIMENT PEUR, c'est que de + en + de gens sont près à faire confiance à ces outils, à croire l'ordinateur, aveuglement, sans réaliser qu'il n'y a AUCUNE réelle réflexion derrière.
Vous avez lu ou entendu le « scandale » qui était survenu, il y a un moment déjà, quand un programme d'IA avait étiqueté des visages d'hommes noirs comme étant des gorilles ? Tout le monde avait hurlé au « racisme ». C'est EFFRAYANT ! Il n'y avait PAS de racisme là-dedans : pour qu'il y ait du racisme, il aurait fallu que le programme soit autonome, qu'il COMPRENNE VRAIMENT les choses, ce qui n'était pas le cas. L'IA ne pense pas, n'a pas d'intentions (bonnes ou mauvaises), pas de recul, pas de véritable intelligence. Elle ne « comprend » même pas ce qu'est un humain (ou un gorille). On ne peut pas parler de racisme quand on parle d'un objet qui n'a AUCUNE volonté propre ! Pour vous donner un point de comparaison : imaginez qu'une équipe de touristes visitent une forêt, et un arbre ou une branche tombe et tue un visiteur. Si ce visiteur était le seul noir du groupe, direz-vous que l'arbre était raciste ? NON, évidemment ! Cet arbre a zéro intelligence, pas d'intention, pas de compréhension de la différence entre « noir » et « blanc » (ni même de ce qu'est un humain !).
Le souci, c'est que la majorité des gens n'ont pas les connaissances ni le recul pour voir au-delà de l'apparence d'intelligence de tous ces outils. Il est très facile de donner l'impression qu'un programme est « intelligent », du moins, tant qu'on ne cherche pas à vérifier qu'il s'agit réellement d'intelligence. Ce n'est pas nouveau, des programmes qui simulent des discussions intelligentes, ça existe depuis les années 1960, et si on n'est pas prévenus, au début, on a l'impression de dialoguer avec un humain, au début, parce que rapidement, on peut voir qu'il y a des bizarreries, et si on creuse, ça devient CLAIR qu'on n'est pas face à une vraie personne.
La raison de ce nouvel article sur le sujet est que j'ai lu un article sur le cas d'une américaine qui avait été condamnée pour ne pas avoir fait son travail (à distance), en bonne partie sur la foi d'un programme d'IA. Programme qui est une totale boîte noire : il pourrait à 100% dire n'importe quoi ! Et ce qui est EFFRAYANT, c'est que visiblement juge et avocats ont pris son « analyse » au pied de la lettre, sans se poser de questions. Pourquoi ? Parce qu'il y a cette idée HORRIBLE et FAUSSE que les ordinateurs sont infaillibles, donc une IA aura forcément raison ! Effarant quand on sait qu'il y a ZÉRO intelligence derrière, le programme pourrait tout aussi bien jouer à pile ou face pour ses décisions, sans que personne ne le voit...
Ne vous y trompez pas : c'est un sujet extrêmement sérieux, avec des ramifications nocives dont presque personne n'est conscient (même dans l'informatique). Alors que notre monde se repose de plus en plus sur des outils de ce genre, ne pas reconnaître leurs ÉNORMES LIMITATIONS pose un réel danger !
(Je parle d'un danger social évidemment : rien à voir avec « Skynet », surtout qu'il n'y a AUCUNE intelligence là-dedans, rappelez-vous.)
Malheureusement, l'éducation en technique et informatique est très faible, et les discours (hypocrites, car il y a d'énormes bénéfices financiers derrière, évidemment) sur la réalité de l'IA sont très convaincants, ça n'annonce rien de bon pour le futur.
Vous voyez, en comparaison des problèmes de la présence grandissante d'outils pseudo-intelligents (mais vraiment STUPIDES), le problème des soi-disant « robots sexuels » est si minime qu'on peut l'ignorer...
Janv
19
19 Janvier 2023
Larry
J'ai déjà parlé des problèmes de peur dans le BDSM, notamment la peur de se lancer.
Mais dans cet article, je voudrais en parler sous un tout autre angle, plutôt proche du « Mindfuck ».
Parlons donc de la Terrrreuuuuurrrrr dans le BDSM (LOL).
Bien entendu, je parle ici de la peur (« terreur ») fictive, façon jeu de rôle, qu'on peut apporter dans une « séance » BDSM, et du problème de trouver des accessoires...
L'autre jour, j'ai fait une recherche pour des instruments utilisables pour cet usage.
J'avais en tête un faux pistolet (dont on voit clairement qu'il n'est pas réel) et un faux couteau (en plastique, qui se tord).
J'avais de tels accessoires, hérités de mon enfance. Malheureusement, avec les déménagements familiaux de ces 2 dernières années, tout a été chamboulé chez moi et dans ma cave (où je ne peux même plus entrer tellement elle est pleine !). Du coup, je ne sais plus où sont pistolets et couteau. Dommage, surtout pour le couteau qui était un couteau « indien », ayant un très bon look, il avait même du « sang » peint sur la lame, LOL.
J'ai donc fait une recherche pour remplacer tout ça.
On peut trouver pas mal de choses, mais la majorité des pistolets par exemple sont soit TROP réalistes (paintball et autres), soit trop éloignés de la réalité.
Pour les couteaux, j'ai cherché dans les magasins d'arts martiaux, je sais qu'on en trouve pour l'entraînement.
J'ai eu du mal à trouver ce que je voulais !
Presque tout ce que je trouvais était indisponible, hors stock, etc.
Enfin, j'ai fini par trouver un couteau correct (voir photo 1), pas aussi bien que mon ancien couteau « indien », mais qui semble relativement vrai, tout en étant totalement souple (voir photo 2).
Quand au pistolet, je l'ai tout bêtement trouvé dans un Carrefour où je vais régulièrement : à tout hasard, j'étais allé jeter un oeil au rayon enfants, et ils avaient un modèle correct (pas trop gros, pas trop irréaliste).
En plus, tout ça était pas cher : 7,80€ en tout !
Avec ces 2 accessoires, je pourrai maintenant faire des jeux de rôles du type « agression » ou « menaces ». Du genre, mettre le couteau contre le cou et demander à une fille qu'elle se déshabille avant de l'attacher sur le lit, etc.
On peut tomber plus ou moins dans le « Mindfuck », mais ça reste « soft » : on sait bien que c'est un jeu. Il y a des gens qui utilisent de vrais couteaux (et autres lames) y compris pour faire du « knife-play », mais c'est un autre type de pratiques, et qui peuvent réellement être dangereuses, bref, à ne pas faire avec n'importe qui ni n'importe comment.
Pour mon usage, qu'on voit clairement que ce sont des jouets, et surtout qu'ils ne soient pas VRAIMENT dangereux, c'est plus que préférable...
Je pense que je rédigerai un article pour mon site sur ces sujets un de ces jours...
À suivre.
Janv
19
19 Janvier 2023
Larry
Je sais que je me répète sans arrêt, voire que je radote sur ce genre de choses, mais je vois sans arrêt des profils sur le site BDSM FetLife qui contiennent tellement de n'importe quoi que je ne peux pas ne PAS en parler !
Avant tout, je voudrais parler d'un profil que j'ai connu parce qu'une -très- jeune femme, avec qui j'avais un peu discuté sur FetLife, l'avait rencontré lors d'une soirée et il était devenu son « mentor ».
Aïïïïïïïïe !
Quand j'avais été voir la fiche de profil du gars, j'avais été STUPÉFAIT !
Rien que son pseudo m'aurait donner envie de l'éviter ! Et si vous aviez vu sa photo ! Hallucinant, un des pires exemples que j'aie jamais vu : look prétentieux, arrogant, et tout, impossible de décrire le WTF? que ça m'a fait pousser en voyant ça.
MAIS, ce n'était pas tout, oh non ! En plus, le gars avec de multiples relations dans son profil : marié, une amante, plus une demi-douzaine d'autres profils (de femmes)...
COMMENT avait-elle pu en quoi que ce soit faire confiance à un mec comme ça ? C'est évident, juste en regardant son profil, sans même avoir besoin de creuser ses commentaires et autres, que c'était un sale type, ayant une mauvaise attitude.
Remarquez, elle a dû finir par s'en apercevoir, parce que, hier, j'ai été revoir son profil et elle n'était plus dans sa liste de relations...
J'en rirais si le sujet n'était pas si sérieux...
L'autre point que je voulais soulever est les « followers » (profils qui vous suivent).
Quand vous allez voir un profil de femme, vous avez presque toujours une liste, parfois énorme d'hommes (avant tout) qui suivent son profil.
C'est fou, le nombre HALLUCINANT de profils allant de ridicules à stupides (et je suis gentil) que j'y vois !
L'autre jour, j'ai fait un passage sur une douzaine de tels profils qui suivaient une jeune femme.
Mais COMMENT peut-on être si STUPIDES ? Je passerai rapidement sur les photos de pénis qui illustrent certains de ces profils... La plupart avaient des profils totalement VIDES (vraiment vide : pas une ligne de texte), ou une ou 2 lignes bidons. Un ou 2 tentaient de se la jouer « grand maître » donneur de leçon et qui donnent des « conseils » et « avertissements » aux femmes soumises, qui sont 100% transparents.
Consternant !
Par contre, une chose qui m'a beaucoup surpris, c'est que je n'ai pas reconnu les habituels profils de serial-dragueurs, vous savez, ceux qui collectionnent les profils de femmes, et en suivent parfois plusieurs milliers.
Ha, on ne peut pas dire qu'il y ait là une grande démonstration de subtilité ni d'intelligence...
De quoi renforcer les stéréotypes négatifs contre les hommes sur les sites de rencontres.
Ça fait des années que je le dis, j'ai même rédigé un article sur le sujet, un profil bien rédigé, c'est IMPORTANT, et y montrer qu'on a une bonne attitude, c'est vital !
Vous me direz, l'avantage avec des gars comme ça, c'est qu'on voit DIRECT qu'ils sont à éviter. C'est comme s'ils l'écrivaient en GROS en première ligne de leur profil. LOL.
Soupir.
Ce n'est pas gagné ! Combien de temps faudra-t'il pour qu'on évolue un peu sur tout ça ?
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